Comparative greenhouse emissions analysis of domestic solar hot water systems
Titel:
Comparative greenhouse emissions analysis of domestic solar hot water systems
Auteur:
Crawford, R. H. Treloar, G. J. Ilozor, B. D. Love, P. E. D.
Verschenen in:
Building research & information
Paginering:
Jaargang 31 (2003) nr. 1 pagina's 34-47
Jaar:
2003-01
Inhoud:
It is commonly assumed that solar hot water systems save energy and reduce greenhouse emissions relative to conventional fossil fuel-powered systems. Very rarely has the life-cycle greenhouse emissions (including the embodied greenhouse emissions of manufacture) of solar hot water systems been analysed. The extent to which solar hot water systems can reduce emissions compared with conventional systems can be shown through a comparative life-cycle greenhouse emissions analysis. This method determined the time it takes for these net greenhouse emissions savings to occur, or the 'emissions payback period'. This paper presents the results of a life-cycle greenhouse emissions analysis of solar hot water systems in comparison with conventional hot water systems for a southern (Melbourne) and a northern (Brisbane) Australian city. The life-cycle costs of these hot water systems were also analysed to determine the financial payback period. The fuel source and solar fraction determined the emissions resulting from the energy used for operating hot water systems. The solar systems provide net emissions savings compared with the conventional systems after 2.5-5 years in Melbourne and after 2.5 years in Brisbane, depending on the auxiliary fuel. The life-cycle cost analysis also revealed that the financial payback period for solar hot water systems is more than 10 years in Melbourne and around 10 years for an electric-boosted system in Brisbane. This suggests the need for greater subsidies to increase market take-up for solar systems, especially where electricity is the only available fuel. On part generalement de l'hypothese que les systemes de production d'eau chaude par chauffe-eau solaire economisent l'energie et reduisent les emissions de gaz a effet de serre par rapport aux systemes classiques de production d'energie par des combustibles fossiles. Les emissions de gaz a effet de serre (y compris celles associees a la production) qui proviennent des systemes de chauffage solaire de l'eau ont ete tres rarement analysees. La mesure dans laquelle ces systemes peuvent reduire les emissions par rapport aux systemes classiques peut etre demontree dans une analyse comparative des emissions de gaz a effet de serre pendant le cycle de vie. Cette methode calcule le temps qu'il faut pour que soit tangible la reduction nette des emissions de gaz a effet de serre ; c'est ce que l'on appelle la periode d'amortissement des emissions. Cet article presente les resultats d'une analyse des emissions de gaz a effet de serre pratiquee sur des systemes de chauffage solaire de l'eau par comparaison a des systemes d'eau chaude classiques pour une ville du sud de l'Australie (Melbourne) et pour une ville du nord (Brisbane). Le cout du cycle de vie de ces systemes d'eau chaude a egalement ete analyse afin de calculer la periode d'amortissement. La source de carburant et la fraction solaire servent a calculer les emissions dues a l'energie utilisee pour faire fonctionner les systemes d'eau chaude. Les systemes solaires ont permis de reduire nettement les emissions par rapport aux systemes classiques apres un laps de 2,5-5 ans a Melbourne et de 2,5 ans a Brisbane, en fonction du combustible auxiliaire utilise. L'analyse des couts du cycle de vie a egalement montre que la periode d'amortissement des systemes de chauffage solaire etait de plus de 10 ans a Melbourne et aux environs de 10 ans pour un systeme electrique a Brisbane. Cela laisse a penser qu'il faut augmenter les subventions pour que le marche des systemes solaires se developpe, notamment lorsque l'electricite est le seul combustible disponible.